Etre heureux : ça dépend de quoi ?

Aujourd’hui je voudrais vous partager une étude, relatée par Christine Lewicki – merci à elle ! – dans son petit guide pratique : « J’arrête de râler ».

« Je pense à cette fameuse étude faite par un grand professeur de psychologie de l’Université de Harvard, Daniel Todd Gilbert, auteur du bestseller Et si le bonheur me tombait dessus » (Robert Laffont, 2007), qui étudiait les gagnants du gros lot de la loterie. Il est parvenu à démontrer qu’un an après les gagnants se trouvaient aussi heureux ou malheureux qu’avant le tirage qui a changé leurs vies.

Et le plus intéressant dans cette étude est que ce « niveau de bonheur » retrouvé vaut aussi pour les gens touchés par de grand malheurs, notamment des personnes devenues paraplégiques. Tous, finalement, après le choc merveilleux ou catastrophique, se trouvaient après quelques temps aussi heureux qu’auparavant. Les circonstances « extérieures », heureuses ou malheureuses, ne faisaient plus effet et ils se retrouvaient aussi insatisfaits ou satisfaits de leur quotidien.

La leçon à tirer de cette étude est que notre bonheur ne dépend pas vraiment des conditions dans lesquelles nous vivons. Riche, fauché, en bonne santé ou malade, avec un emploi ou au chômage, notre bonheur ne dépend pas de ces circonstances. Il dépend au contraire de la façon dont nous choisissons de vivre ces circonstances : serein, optimiste, motivé, déterminé ou au contraire accablé, stressé, victimisé… »

« Le bonheur ça s’trouve pas en lingots, mais en petite monnaie. » La Petite Monnaie, Bénabar…

Je vous livrerai les enseignements que je tire de cette information dans ma prochaine gazette / newsletter… Et suis preneuse -of course et avec grand plaisir ; ) – de vos commentaires, résonances, partages d’expérience etc. !

A très vite : prochaine gazette mardi prochain pour celles et ceux qui s’y sont inscrits !